20 bonnes raisons de devenir écrivain – 17 – les métaphores
Devenir écrivain, Se lancerDans l’écriture, les images s’appellent des métaphores. Ces figures de style s’élaborent patiemment, méthodiquement et font appel à un sens […]
Dans l’écriture, les images s’appellent des métaphores. Ces figures de style s’élaborent patiemment, méthodiquement et font appel à un sens […]
Le style d’un auteur fait toute la différence. Espérant frapper les esprits avec des images fortes, trop d’auteurs abusent des métaphores
Une bonne description suppose que l’auteur ait réalisé au préalable un travail d’observation, de documentation. Cet article traite l’observation indirecte.
Une formation à l’écriture ? Beaucoup d’auteurs en devenir renoncent. Cet article va vous donnera envie de persévérer et de réussir.
John Fante. Une chronique de Frédéric Barbas au sujet du roman Demande à la poussière. « Dans les années trente, Arturo
Comment réussir ses descriptions ? L’écrivain maîtrise la description au point de rendre vrai ce qu’il raconte. Percevoir et rendre
Les personnages marquent par leur personnalité, leurs audaces, leurs talents et leurs travers. Un bon moyen de séduire ses lecteurs
Réussir une description ne va pas de soi. Ni exhaustive, ni banale, elle se doit d’étonner pour frapper les esprits,
Joseph Mitchell, un building de mots
Dans cette chronique littéraire, Frédéric vous présente une des facettes du génie littéraire de Joseph Mitchell
Si vous ne connaissez pas encore Joseph Mitchell, il faut vous précipiter sur un de ses textes. Cet homme est New York, tout simplement. L’une de ses contributions intellectuelles les plus remarquables, en tout cas. À la fragile démesure de cette ville, dans des constats tristes soulignés d’œillades aiguës, il nous restitue les temps oubliés d’un Manhattan confidentiel.
La narration est l’art de raconter. L’écrivain se doit de captiver rapidement son lecteur sous pleine de le perdre à
La lecture critique ? Indispensable pour améliorer ses textes ! Comment améliorer ses textes si l’on ne remarque pas ses « fautes » ? Plus
À notre façon acharnée, nous entretenons une passion amoureuse avec les textes que nous écrivons. La différence avec celle que nous aurions envers un être fait de chair et de sang est que notre relation avec notre amant(e) de papier est à coup sûr vouée à la rupture.
Un écrivain capitalise sur l’abandon de croyances naïves, telles que le génie instantané ou l’inutilité de structurer son intrigue. Un couple renonce à l’idée d’une confiance aveugle quand survient une tromperie, chacun repartant construire sa vie. Le point de convergence est qu’en cas d’échec, du neuf, du remplacement si l’on peut dire, est inévitable.