Le blog d'Esprit Livre

" Vous trouverez sur ce blog des informations sur les métiers de l'écriture, des chroniques littéraires , des textes de nos auteurs en formation, des guides et des conseils pour vous former, écrire et publier. " Jocelyne Barbas, écrivain, formatrice, fondatrice de L'esprit livre.

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Diane Lemay – Stage questions de style (mai 2016)

Sommaire

Texte présenté au terme du stage

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Problème de taille

Marceau fixait son écran, aveugle. Son supérieur immédiat s’arrêta pour causer :
–   Salut, dis donc, ça a pas l’air d’aller. Tu reviens pas d’vacances, toi ?
–   Oui. Parle-moi z-en pas. On a été évacué.
–   Où ça ?
–   Au Japon. As-tu pogné ça aux nouvelles, la centrale ?
–   C’est plate !
–   Oh, j’me sens moche. J’rentre.
–   Le boss va t’chialer, mais si i’te voit la tête !… T’es plus lette que d’habitude.
Sans sourire, Marceau le salua et traina ses semelles sur le tapis, s’enfargeant quasiment dans les motifs.
Le dos plus rond que d’habitude, le pauvre se hissa sur la banquette d’autobus ; pour une fois en avance sur son retard. Ballotté comme le roseau de la fable, retrouver le sol immobile le soulagea. Blême, il soupira en passant sa main sur sa tête auréolée de rares cheveux à la couleur indéfinie :
«Qu’est-ce qui m’a sauté d’ssus ? J’me d’mande si Mona l’a attrapé.»
Il remontait sa rue. Lentement. Les craques du trottoir lui semblaient plus distancées que la normale.
«Robbie a donné un nouvel engrais à sa haie ? Elle a doublé ?» marmonna Marceau, soutenant son cou devant le mur vert de son voisin.
L’allée de gravier rallongea sous ses yeux. Nez au sol, il plaçait ses pieds à travers les cailloux pointus, gros comme des ballons. Marceau s’assit sur son perron.
«Ch’tu vraiment chez nous ? »
Autour, il reconnut les cèdres de Robbie. La maison d’en face. Son allée, son auto. Derrière lui : «C’est ma porte ! Mais… elle est énorme ! Donc… je suis vraiment sur MON perron ? Qui est grand comme une cour d’école ! Qu’est-ce que j’ai ? C’est quoi c’t’odeur ? Du pissenlit ? D’la pisse d’insectes ? D’l’engrais ? Pouach !»
Effrayé de comprendre, il se releva, tout à coup, léger. Vague silhouette sombre, au loin.
«Une chatte avec sa portée ? Sales bêtes. Va falloir que je surveille mes bégonias p… mais… i’l a trop de pattes pour des chats !… Des fourmis ? Énormes ! Elles me chargent ? Au s’cours !»
Aucun caillou pour se défendre. «Mona et sa manie de tout balayer…» maugréa-t-il en détalant. Pour éviter de se bêcher dans les cratères du béton, il zigzaguait, étourdissant du même coup ses fidèles poursuivants. Sa faiblesse s’accroissait. La distance s’amenuisait. Le petit homme entendait claquer leurs mandibules menaçant. Sprint vers le seuil. «Cours, Marceau, cours ! Comme si ta vie en dépendait ! C’est pas le moment d’te souvenir que tu haïssais l’éducation physique !»
Il s’époumonnait, au bord de la syncope :
«Mona ! Ouvre ! C’est moi ! Au s’cours ! J’vais mourir ! Ouvre !»
Rien.
Aucun mouvement.
Le ciel s’assombrit. Dans sa détresse, il n’avait ni vu ni entendu s’approcher Robbie. Notre zéro vit là une occasion inespérée de franchir la muraille du seuil. Agrippant un lacet, Tarzan s’envola avant d’échouer durement sur la céramique de Madame.
«Ouf,» souffla-t-il.
Mona et Robbie placotaient. Les tympans de Marceau captaient un boucan digne d’une nuit de Rave. Se bouchant les oreilles, il examinait l’environnement. Finis les doutes. Il avait rétréci…  En quel honneur ? Pourquoi lui ? «Pourquoi pas !» songeait notre homme, amer.
Sa femme et son ami, debout, parlaient. «Mona ! Robbie ! Ouhou ! C’est moi ! ICI !» hurlait-il. Discours de sourd.
Les interpellés sortirent de la cuisine. Direction : l’arrière de la maison. Avec la distance, Marceau pouvait mieux les syntoniser. Sa femme disait à son ami :
–   J’en pouvais plus d’attendre.
–   Je suis désolé. C’est pas facile de m’libérer : l’boulot, Ginette. T’as c’que j’t’ai demandé ?
–   J’ai demandé au beau-frère. I’s’prétend un as, c’que ma soeur démens, n’empêche qu’il est bien équipé. J’ai fait des emprunts. On devrait s’amuser.
En ricanant, Robbie ajouta :
–   J’espère faire mieux qu’ton mari.
–   Ça va être facile. Pôv lui ! C’pas faute de vouloir, mais t’sais…
Le reste se perdit derrière la porte que Mona ferma en douceur.
Marceau figea, choqué. Quelle vérité lui sautait en pleine face ?
Combien de temps resta-t-il debout, les bras ballants, la bouche ouverte, le regard absent, avant de reprendre ses esprits ? Des tréfonds de son âme émergeait l’horreur.
«Mona et Robbie ? Amants ?… Impossible. Depuis quand ? Robbie travaille le soir, Mona reste à la maison le jour… Non.» Marceau refusait l’évidence, mais une voix agaçante le torturait : « Peut-être ! » N’étaient-ils pas dans la chambre ? Porte fermée ? La dernière fois où Mona et lui… datait de… euh…
Combattant la peur de savoir, il s’aventura sur la céramique lustrée. Il abandonna le chemin de tuiles neuves et trop lisses, pour cheminer sur le coulis rugueux, tel un funambule. Il se félicita un peu vite d’avoir réussi l’épreuve Haut la main ! Devant lui, la porte. À ses pieds, le tapis du couloir. Décoré de motifs ondulés comme autant de sourires moqueurs. Les algues de laine colorées l’empêchaient de flotter. Sa rage décupla devant les efforts.
Perdant son reste de savoir-vivre, il explosa tout en arrachant chaque pas :
«Ostie, c’pas vrai. Câlisse !… Mon père… m’l’avait dit… que ça sert à rien… d’rester fidèle,… de payer… des voyages dans l’Sud… plus… une… (chute) ostie… d’belle cuisine… avec d’l’ostie… d’céramique… glissante.» grognait-il entre ses dents.
«Attendez qu’j’vous pogne… Vous allez… le r’gretter… J’va’ vous en faire,… moé,… du cul dans mon dos… Vous m’prenez… pour un gnochon ?… Mes osties… L’gnochon !… Y VA VOUS TUER !» acheva-t-il en arrivant sur les lieux du crime. Juste avant de franchir le seuil, il se dressa de toute sa petite taille. Les poings sur les hanches, il soufflait comme un taureau prêt à charger. De l’autre côté du mur, il entendait un tintamarre des voix. Il se glissa sous la porte et vit les coupables en pleine action.
Les délinquants, sur le lit, étaient entourés d’un bazar que Marceau reconnut. Sa colère trépassa, remplacée par une douleur qui le sciait.
«Mona, t’as pas fait ça ! Pas avec Robbie !» se plaint-il d’une voix si possible plus petite.
«C’est à moi de t’faire ça ! Rien qu’à moi ! C’est moi ton mari…»
Comme un enfant, il piocha du pied : «C’est fini, je t’achète plus rien chez IKEA !»


Texte revu après stage

Problème de taille

J’ai changé les prénoms qui portaient à confusion chez celles qui connaissent les personnages de mon roman. À la base, l’idée était de leur donner une vie différente de celle qu’ils ont déjà. Maintenant qu’ils l’ont eu… Autant j’ai cherché à épurer, liquider des mots, descendre sous la barre des 1000 mots dans ma première mouture, autant, pour la réécriture, je me suis laissé aller, tout en évitant le superflu qui n’amène rien au texte.

MISE EN GARDE – il se peut que le vocabulaire vous semble inadéquat, mais c’est ainsi qu’on parle au Québec, c’est ce que vous entendriez. Profitez de votre bain touristique.

Émile fixait son écran, sans le voir. Son voisin de cubicule allongea le cou pour causer :
–   Dis donc, t’as don’ b’en d’l’air moche ! T’arrives pas d’vacances ?

Se passant la main sur la figure en s’adossant à son fauteuil, Émile répondit mollement :
–   Ouais. Parle-moi z-en pas. On a été évacué à cause de la centrale nucléaire.
–   Où t’étais ?
–   Au Japon.
–   Oui, oui, oui ! J’ai lu ça dans les journaux. Comme ça, t’étais aux premières loges ? demanda le camarade en hochant  la tête.
–   Bof. C’t à dire qu’ j’ai vu les nuages radioactifs de loin, souffla le malade. Sais-tu, j’me sens vraiment moche. J’rentre. Vous allez survivre vot’ journée sans moi. Les cimetières sont remplis d’monde indispensab’.

Émile se leva trop lentement pour éviter les moqueries :
–   Le boss va t’chialer, mais si i’te voyait la tête !… T’es plus lette que d’habitude. Ça doit être la radioactivité. Allumes-tu phosphorescent quand on ferme la lumière ? I’ va p’-être te pousser un ‘tit bras dans l’front ?
Sans sourire, Émile le salua d’un vague geste de la main et traina ses semelles sur le tapis.
Le dos plus rond que d’habitude, le pauvre se hissa sur la banquette d’autobus. «Je dois être b’en faib’, m’semble que l’banc est plus haut qu’d’habitude.» Ballotté comme le roseau de la fable, retrouver le sol immobile le soulagea. Blême, il passa sa main sur sa tête auréolée de rares cheveux à la couleur indéfinissable :
«Qu’est-ce qui m’a sauté d’ssus ? J’me d’mande si Judith l’a attrapé.»
Obsédé par sa faiblesse, il ne remarqua pas qu’il retenait sa ceinture de pantalon. Que ses souliers galochaient sur le ciment pendant qu’il cheminait le long de sa rue. Autour de lui, il lui semblait voir son univers quotidien pour la première fois. «I’m’semble que les craques du trottoir sont b’en plus larges que d’habitude !» «Vincent a changé d’engrais ? Sa haie a quasiment doublé depuis à matin !»
S’arrêtant devant son numéro : «Enfin, la maison.» L’allée de gravier rallongea sous ses yeux. Émile se frotta les yeux pour recadrer. Progressant avec précaution sur les cailloux, il tentait d’éviter de se verser les chevilles dans des chaussures qui restaient de plus en plus difficilement dans les pieds. Essoufflé, il s’assit sur son perron. Surpris de ses pieds nus battant le vide,  ses godasses l’ayant abandonné cinq pas plus tôt, il demanda à voix haute :
«Ch’tu vraiment chez nous ? C’est b’en les cèd’es de Vincent. En face, la maison des Beaulieu. Mon allée, mon auto. Derrière : C’est ma porte ! Mais… elle est énorme ! Ça veut dire… que je suis vraiment sur MON perron ? Depuis quand i’est grand comme une cour d’école ? C’t’y les caméras cachées ?»

Tournant la tête à gauche, à droite, Émile tentait de dénicher les joueurs de tours.

Rien. Personne. «Fait qu’c’est moi l’problème ?» Refusant de verbaliser son hypothèse, naïve tentative pour éviter de  la concrétiser, son cerveau enregistrait son nouvel horizon. Tout à coup : «C’est quoi c’t’odeur ? Du pissenlit ? D’l’insecticide ? Pouach !» Balayant l’air de ses mains pour éloigner l’odeur de ses narines, il réalisa que les brins d’herbe et ses paumes avaient la même largeur. Le chant doux des oiseaux lui perçaient les tympans. Intolérable !
Un mouvement à sa droite.
«Une portée de chats ? Sales bêtes. Va falloir que je surveille mes bégonias p… mais… i’a don’ b’en des pattes !… C’est quoi ? C’est des fourmis ? Elles sont énormes ! Elles me chargent ? Au s’cours !»
Comme un jet de lave, notre homme oublia sa fatigue et sauta hors du cratère de ses vêtements  vers sa porte. Il aurait aimé avoir quelques cailloux pour se défendre. «Judith et sa manie de tout balayer…» maugréa-t-il. Maintenant complètement nu, il cherchait sans trop de succès à semer ses fidèles poursuivants. La distance s’amenuisait. Sa faiblesse s’accroissait. Le petit homme entendait claquer les mandibules menaçant. Sprint vers le seuil. Auto-encouragements : «Cours, Émile, cours ! Comme si ta vie en dépendait ! C’pas le moment d’te souvenir que t’haïssais l’éducation physique !»
Puis il s’époumona à appeler Judith, au bord de la syncope :
«Judith ! Ouvre ! Au s’cours ! J’vais mourir !»
Le ciel s’assombrit. Dans sa détresse, il n’avait ni vu ni entendu s’approcher Vincent. Notre zéro vit là l’occasion inespérée de jouer à Indiana Jones pour franchir la muraille du seuil. Accrochant ses doigts dans les mailles du lacet détaché qui passait, Tarzan s’envola pour échouer durement sur la céramique froide de Madame.
«Ouf,» lâcha-t-il en tombant. Ses fesses glissèrent mal sur la surface unie et gémirent comme des freins serrés brusquement.

Flattant la rougeur cuisante, relief de son atterrissage, et les éraflures laissées par les fibres rugueuses de sa liane, le cerveau d’Émile cherchait son équilibre. La chose aurait été plus facile si ses oreilles n’enregistraient un boucan digne d’une nuit de Rave. La cacophonie provenait de sa femme et son ami voisin qui placotaient, debout, au comptoir de granit de la cuisine à la dernière mode. La taille de tout autour de lui confirma ses doutes. Il avait rétréci…  En quel honneur ? Pourquoi lui ? «Pourquoi pas !» songeait notre homme, nu et amer.
Sa femme et son ami échangeaient sans se rendre compte de sa présence. Il eut beau crier : «Judith ! Vincent ! Houhou ! C’est moi ! ICI !»

Discours de sourds. Même qu’ils prirent la direction opposée : l’arrière de la maison où se trouve la chambre à coucher. Avec la distance, Émile pouvait mieux les syntoniser. Judith, en mettant sa main sur l’avant-bras de Vincent, riait béatement :
–   J’en pouvais plus d’attendre.

Vincent, qu’Émile voyait de trois-quarts, rougissait :
–   Je suis désolé. C’est pas facile de m’libérer : l’boulot, Ginette. T’as c’que j’t’ai demandé ?
– J’ai demandé à mon beau-frère. I’s’dit un champion, c’que ma soeur contredit, N’empêche qu’il est bien équipé. J’ai fait des emprunts. Le plaisir nous attend. J’ai hâte !
En riant humblement, Vincent ajouta :
–   J’espère faire mieux qu’ton mari.
–   Ça va être facile. Pôv lui ! C’pas faute de vouloir, mais t’sais…
Le reste se perdit derrière la porte que Judith ferma en douceur.
Émile oublia ses brûlures, choqué. Quelle vérité lui sautait en pleine face ?
Combien de temps resta-t-il debout, les bras ballants, la bouche ouverte, le regard absent, avant de reprendre ses esprits ? Des tréfonds de son âme émergeait l’horreur. «Judith et Vincent ? Amants ?… Impossible. Depuis quand ? Vincent travaille le soir, Judith reste à ‘maison…» Émile hoqueta : « le jour… Non.» Une voix grinçante le torturait : « P’t-être b’en qu’oui ! R’gard’, i’sont dans vot’ chambre. La porte fermée.» Il chercha à se souvenir de la dernière fois où Judith et lui… ça datait de… euh…
Torturé, Émile s’aventura sur la céramique lustrée jusqu’au chemin de coulis rugueux. Tel un funambule, le malheureux trottina jusqu’à la dernière tuile. Devant lui, la porte qui dissimulait les coupables. À ses pieds, le tapis du couloir. Il s’attaqua aux algues de laine colorées qui lui arrivaient à la palette du genou. Chaque pas lui causait des piqûres aux fesses et aux testicules tout en lui égratignant les pieds. Le pauvre homme s’essoufflait dans un effort qui mettait à l’épreuve son équilibre. Sa rage décuplait :
«Ostie, c’pas vrai… Pffff… Mon père… m’l’avait dit… (chute) Han !… qu’ça sert à rien… d’rester fidèle,… de payer… (perte d’équilibre) Wo !… des voyages dans l’Sud… plus… une… (chute) Han !… belle cuisine… (coincé) a-a-a-avec d’l’ostie… d’céramique…  Pffff… à ‘ dernière mode.» grognait-il les dents serrées.
«Attendez… Han ! qu’j’vous pogne… Vous allez… (chute) Han !… le r’gretter… J’va’ vous en faire,… moé,… Pfff…  du cul dans mon dos… Vous m’prenez… pour un gnochon ?… Mes osties… Pfff… L’gnochon…» Arrivant sur les lieux du crime, il se dressa de toute sa petite taille sans tenir compte de sa modeste nudité. Les poings sur les hanches, il conclut avec un tonitruant cri miniature : «…Y VA VOUS TUER !»

Dans la pièce close, on l’ignorait toujours. Émile se courba pour passer sous la porte, espérant secrètement se tromper. En même temps, quelles autres conclusions tirer de ses observations ?

Les délinquants, sur le lit, étaient entourés d’un bazar qui blessa l’orgueil d’Émile. Sa colère trépassa, remplacée par la douleur. Avec une voix d’enfant, il s’adressa à sa femme :

–   «Judith, t’as pas fait ça ! Pas avec Vincent !»

Touchant son cœur du bout de ses doigts :
–   C’est à moi de t’faire ça !… Rien qu’à moi !… Ton mari…

Puis, toujours comme un enfant, il piocha du pied :
–   C’est fini, je t’achète plus de meuble chez IKEA !»

1 réflexion sur “Diane Lemay – Stage questions de style (mai 2016)”

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