L’écriture est une bataille dont les incessants préparatifs visent à conquérir les territoires de la création. Si fourbir ses armes ne garantit pas la victoire à chaque paragraphe, c’est bien en apprenant le métier d’écrivain qu’on éprouve au fil des lignes une joie tant étrange qu’incomparable : celle où s’intriquent difficultés et découvertes, évidences et subtilités ; et où aux brefs renoncements succèdent les encouragements de ceux étant passés par ces lumineuses épreuves. Avec L’esprit livre, s’instruire à l’art de la mise en mots revient, au-delà des efforts consentis, à saupoudrer sa vie d’instants complices et de phrases merveilleuses…
Apprendre à avoir du talent
L’étouffoir des plumes hautaines
Il est une évidence coincée dans la gorge de certaines plumes hautaines, un truisme à cause duquel l’étouffement les guette : écrire est un métier qui, en tant que tel, s’apprend. Une fois franchi le brumeux barrage des illusions défendant l’idée que le talent serait un don, on peut passer aux choses sérieuses. « Tout le talent d’écrire ne consiste après tout que dans le choix des mots » disait Flaubert, qui savait quand même un peu de quoi il parlait. Et ce choix découle de bien autre chose que de se penser supérieur à l’apprentissage au point de s’en gausser.
La bienveillance, une évaluation douce
Se moquer est parfois le moyen de ne pas se confronter à ce qu’on redoute. Bien souvent, ceux des plus réfractaires à l’acquisition de connaissances craignent en fait que de ne pas les posséder « naturellement » fasse saillir ce qu’ils considèrent telles des carences. Il est vrai que se voir proposer des savoir-faire dont on ignorait jusqu’à l’existence met en avant des failles dans notre approche de l’écriture. Mais désigner des manques dans la pratique de l’écrit ne consiste pas, avec L’esprit livre, en un jugement négatif : nous optons toujours pour une évaluation douce par le biais de la bienveillance.
Transmettre, un puissant levier pour s’améliorer
Au contraire, relever un manque est un premier pas effectué vers la meilleure façon de colmater ces lézardes dans le parcours d’écrivain de chacun. Il est normal, même à un stade avancé d’un métier, de ne pas s’en être appropriées toutes les techniques. Ainsi, bien que leurs qualités propres et l’expérience qu’ils ont emmagasinées au cours de leurs carrières respectives soient reconnues, les auteurs/tuteurs de L’esprit livre sont également formés. Pourquoi ? Pour faire bénéficier au mieux de leurs compétences les stagiaires qu’ils accompagnent. Détenir des qualifications dans un domaine est une chose, les transmettre en est une autre.
Les meilleures aides pour écrire
Un cocktail d’excellence
Peu importe l’activité dans laquelle on désire progresser, l’optimisation de la transmission des savoir-faire est un apport très précieux. Pour parfaire son écriture, combiner les aptitudes d’auteurs confirmés à la certitude d’en faire efficacement profiter les stagiaires par les outils de la formation professionnelle est le choix fort de L’esprit livre. Ce cocktail d’excellence, qui exige d’agréger deux capacités distinctes, est mis en œuvre en ayant pour ambition d’apporter à chaque stagiaire de la rigueur à sa fantaisie. De considérer avec sérieux toutes les facéties de son imagination.
Une formation unique à la portée de tous
La méthode de L’esprit livre s’appuie en partie sur Qualiopi, une formation reconnue dont le haut degré d’exigence fait qu’elle n’est pas délivrée à la légère. Cette certification unique du ministère du Travail est bien entendu une énorme valeur ajoutée pour notre organisme, car elle nous permet d’accéder à des financements publics dont nos stagiaires peuvent ainsi bénéficier. Eh oui, le professionnalisme se mesure aussi à la volonté de proposer à celles et ceux qui nous font confiance un véritable plus financier ! De quoi là encore lier l’utile à l’agréable.
Se révéler en tant qu’auteur
Cette aide accessible à qui est intéressé par nos différentes formules est particulièrement appréciée, car elle permet à un large public de s’ouvrir ou se perfectionner à l’art d’écrire. Bien sûr, l’attrait principal pour les personnes nous contactant est de vivre en notre compagnie la magnifique aventure de se révéler en tant qu’auteur. Notre organisme répond à leur demande sans esbroufe mais en englobant de façon concrète et professionnelle la majorité des attentes des amoureux de l’écriture. Mettre nos moyens à leur disposition reste notre immense fierté. Et la prestation d’ensemble de l’équipe de L’esprit livre pour y parvenir est tout autant un motif de satisfaction.
Entre les lignes
L’alchimie de l’échange
L’alchimie opérant à chaque étape de la réalisation du projet d’un stagiaire conserve un je-ne-sais-quoi de mystérieux. J’ai pourtant eu à maintes reprises l’occasion de réfléchir aux multiples chemins empruntés afin qu’un désir littéraire se concrétise, pour les autres comme pour moi-même. Seulement, les envies de chacun forment des entrelacs de pensées si différents qu’il demeure difficile de trouver un point commun au plaisir pris à écrire, à la joie simple d’avoir articulé une idée avec le vocabulaire lui rendant justice. Il me paraît toutefois qu’on puisse au moins établir une trajectoire convergente : l’échange autour d’un texte. Et, bien sûr, ce qui en résulte…
Les rencontres
Ce nœud de paroles où se tressent les avis, se resserrent les passions de lecteurs et les conseils d’auteurs, où un rire est un compliment et un silence une marque d’intérêt, est le cœur faisant vivre et vibrer la littérature. Lors de cet instant suspendu, intellectuellement payés de leur investissement, écrivain et stagiaire se disent dans des riens qu’apprendre de l’autre est le comprendre, et le comprendre le découvrir. On lit entre les lignes des textes que les gens nous confient quelques fragments de leur vie, et dans la joie d’écrire se forge celle des rencontres artistiques…
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