Pourquoi vouloir d’une formation en écriture ? On apprend déjà à l’école ! Oui, mais non. Voilà pourquoi existent des ateliers d’écriture.
Puisqu’on n’en finit jamais complètement avec les idées reçues, il est bon de temps à autre de rappeler en quoi consiste vraiment la pratique de l’écriture. Parmi ceux s’apprêtant à lire cet article, beaucoup doivent se dire qu’ils savent déjà de quoi il va être question. C’est normal si l’on considère que l’ADN d’une idée reçue est d’être largement répandue et de s’imposer comme une évidence bien qu’elle soit contredite par les faits. Si la réalité ne dort jamais, ce sont parfois les illusions qui nous bercent, alors bon réveil à toutes et tous…
Croyances et contrevérités
Les savoir-faire mésestimés
Il y a plusieurs façons d’apprendre son métier d’écrivain. Autant qu’il existe de personnes souhaitant le pratiquer ? Oui, notre personnalité est bien sûr à prendre en considération dans ce qui caractérise l’approche qu’on a de cet art. Cette particularité-là influera sur notre façon d’écrire à la seule condition de maîtriser les nombreux savoir-faire dont nous ne mesurons pas toujours l’importance quand on débute. Posséder un style qui nous est propre est une amorce de notre talent, le développer afin qu’il imprègne nos textes, son aboutissement.
La personnalité ne remplace pas le travail
En tant qu’émanation de qui nous sommes, cette signature littéraire doit à tout prix être mise en avant, sans quoi qu’est-ce qui nous différencierait des autres ? Rien. En partant de ce constat, bien des auteurs en herbe pensent qu’il leur suffit d’être eux-mêmes pour imposer leur patte à l’histoire qu’il raconte. Dans le meilleur des cas, c’est une contrevérité, dans le pire, une croyance. La nuance entre les deux est simple à saisir : on peut venir à bout d’une contrevérité de manière factuelle, pour la bonne raison qu’elle repose sur un manque de connaissances du sujet dont on parle, quel qu’il soit. Pour qui disposant de l’ouverture d’esprit dont la majorité des gens est dotée, reconnaître la nécessité de se former à l’écriture pour affirmer son style va de soi. D’autant plus quand on progresse rapidement grâce à l’acquisition de solides bases de travail obtenues par le biais des techniques appropriées.
Savoir qu’on ne sait pas
En revanche… dois-je vraiment expliquer l’expression s’enfermer dans une croyance ? La voilà la nuance qui, si on la considère de plus près, constitue un obstacle presque insurmontable à l’apprentissage du métier d’écrivain. D’un côté s’ouvrir à ce qu’une formation peut nous offrir, de l’autre s’enfermer dans la certitude invérifiable, et pour cause, qu’on sait déjà les choses avant de les apprendre. Vous aussi seriez curieux de connaître par quel miracle cet audacieux concept serait possible ? La meilleure non-réponse que je puisse vous donner est celle-ci : ça ne l’est pas.
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Les freins irrationnels
L’entêtement contreproductif
Pourtant, certain(e)s s’entêtent à le croire, se refusant de fait la chance de devenir la meilleure version d’eux-mêmes. Tant que nous sommes dans le domaine de la croyance, mettons en lumière deux autres freins majeurs : le premier consiste à croire que l’apport de procédés d’écriture va dénaturer ce qui constitue notre unicité, alors que ce bagage technique vise à l’exalter. Eh oui, acquérir de nouvelles compétences n’annihile aucunement celles que nous possédons déjà et font notre valeur. Soit elles les complètent, soit elles enrichissent notre éventail de possibilités nous permettant d’améliorer notre écriture. Avouez que ce serait ballot de s’en priver sous prétexte qu’on a décrété que cela altérerait notre moi profond…
L’avis de naissance
Le second frein est de se persuader que l’inné est supérieur à l’acquis. Ceux qui avancent cet argument en pensant sincèrement qu’il fait autorité oublient un détail : l’inné et l’acquis ne sont pas opposés, mais complémentaires. Pour une raison toute bête : l’homme a la capacité innée d’acquérir. Seulement, il est toujours confortable de se dire que nous sommes suffisamment doués de naissance pour faire l’économie du travail indispensable à l’élévation de notre niveau d’écriture…
La substance du leurre
Par confortable, il ne serait pas idiot d’entendre rassurant. Après tout, n’est-ce pas rassurant de ne pas se confronter à des aspects d’un domaine dont nous craignons de nous apercevoir que nous sommes bien loin de les maîtriser, contrairement à ce que nous affirmons haut et fort ? Il vaut mieux les ignorer, n’est-ce pas ? Ainsi, on restera dans notre croyance que nous sommes en mesure d’en venir à bout… tant qu’on n’essaiera pas, du moins. L’évitement est ce qui donne sa substance à un leurre.
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Les objections expliquées
La fuite dans les loges
On voit que notre esprit est prompt à formuler des objections construites de toutes pièces pour fuir une certaine réalité du métier d’écrivain. Elles ne reposent pour l’essentiel que sur des craintes infondées, sur les mensonges qu’on se fait à soi-même et, quitte à froisser quelques esprits susceptibles en énonçant cela, sur un goût plus que modéré pour l’effort, disons, si jamais le mot « paresse » vous fait vous réfugier dans les loges. J’ai failli oublier une raison fréquemment évoquée : le fameux « Je n’ai pas assez de temps pour apprendre ! ». Ah oui ? Mais pour écrire tout seul dans votre coin, si ? Allons…
Les années découragées
Le plus fort peut-être, quand une personne se réfugie derrière cette prétendue incapacité à disposer du temps nécessaire à l’apprentissage, c’est que cela vient souvent après une déclaration du genre : « Ça fait 5 ans que j’écris, mais je stagne. ». Cinq ans de l’existence de quelqu’un, ce n’est pas rien… et pourtant, c’est bien la même personne qui affirmera qu’elle aura toutes les peines du monde à consacrer quelques heures par mois au suivi d’une formation. Alors, quelle est la cause de ce blocage temporel ? Car il y en a forcément une…
L’épiderme des promesses
En creusant un peu, on découvre souvent la raison de cette réticence : la personne en question a déjà passé une partie non négligeable de son temps le nez plongé dans un tas de manuels « spécialisés » dans l’écriture d’une première œuvre. Ou d’ouvrages regroupant de façon sommaire quelques notions montrant rapidement leurs limites. Version numérique, la même personne aura écumé des sites lui promettant de connaître tout ce qu’il faut savoir pour écrire un roman en dix points, ou en deux semaines, ou en s’inspirant le plus sérieusement du monde (vraiment ?) du dernier succès de librairie à la mode… bref, en claquant des doigts, et encore pas trop fort pour ne pas irriter l’épiderme.
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Trouver le bon conseil au bon prix
L’opportuniste en tenue de plongée
Évidemment, les conseils dispensés se résument le plus souvent à un catalogue de généralités n’étant pas organisées dans le cadre d’une méthode. L’offre oscille entre l’amateurisme bienveillant et l’opportunisme nettement plus intéressé. Le credo de ces derniers est : « Peu importe la demande, nous ferons une offre ». Si la confection de combinaisons de plongée en laine était tendance, vous verriez des as de la maille et du Jacquard apparaître comme par enchantement aux quatre coins du Web pour proposer leurs modèles les plus étanches. La plupart n’ayant bien entendu jamais eu une aiguille à tricoter entre les doigts…
Du vent dans les rideaux
D’apparence plus sérieuse, des collectifs d’intervenants connus dans le petit monde de l’édition misent sur une culture du paraître prévalant là encore sur la méthode, mettant pour ce faire sur le devant de la scène un ou deux noms un peu ronflants et, en coulisses, du vent pour agiter les rideaux dissimulant une absence de contenu. Le paraître et le néant, en quelque sorte. Quand on fait un peu briller l’argenterie, c’est toujours pour un prix défiant non pas toute concurrence, mais toute logique. Je reviendrai sur le coût réel d’une formation telle que l’Esprit livre en propose à la fin de cet article.
L’adoubement virtuel
Au-delà de ne se voir principalement proposer que des banalités, ceux qui se dirigent vers ses solutions de facilité sous-estiment un facteur pourtant primordial : ils ne sont pas formés, mais livrés à eux-mêmes. Il n’y aura donc jamais des gens dont c’est le métier pour leur expliquer leurs erreurs et comment y remédier. Ni pour leur apporter un regard professionnel sur leurs textes. Les noms ronflants déjà évoqués sont en général un moteur qui pétarade sans vous faire aller loin. Seul votre ego voyage un peu le temps d’avoir eu l’illusion que la proximité virtuelle ou non d’une célébrité serait, plus qu’un gage de réussite, un adoubement.
Les sorciers de l’éphémère
Les auteurs en herbe, avides d’apprendre des formules magiques de la part de ces sorciers littéraires, en seront fréquemment pour leurs frais. Il est aisé de comprendre pourquoi : il est plus que rare d’avoir accès à des écrivains qui soient aussi des formateurs. Donner une classe de maître (ou « master class » si vous préférez) n’a rien à voir avec le fait d’accompagner sur le long terme quelqu’un désireux de se perfectionner en bénéficiant d’une aide régulière. Une fois asséné un cours magistral qui laissera assommé de mots celui qui aura payé plutôt cher pour les entendre, que lui en restera-t-il ? La gloire de l’autre ne rejaillira pas sur lui. Son talent non plus. Rien ne lui aura été transmis que l’envie d’être l’autre, pas le moyen d’y parvenir. C’est peut-être regrettable, mais l’éphémère ne gouverne pas ce qu’on veut voir s’inscrire dans le temps.
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La formation de L’esprit livre
La qualité certifiée
Comme promis, voici un exemple de séquence d’apprentissage figurant parmi celles proposées par L’esprit livre, avec les prestations mises face à un coût. Avant toutes choses, il faut savoir que les auteurs travaillant pour notre organisme de formation bénéficient de la Certification Qualiopi obtenue par L’esprit livre. Kézako ? L’assurance d’un suivi sérieux et rigoureux : « La Certification Qualiopi atteste de la qualité des prestations proposées par les organismes de formation sur la base du Référentiel National Qualité. »
Ce que les autres n’ont pas, nous l’avons !
Une certification dont ne dispose pas la plupart des différentes personnes et institutions censées vous guider dans votre écriture. Au passage, on notera qu’un écrivain n’est légalement autorisé à former des stagiaires que s’il exerce dans le cadre d’une structure détentrice de la Certification Qualiopi. Renseignez-vous… Vous pouvez donc apprécier en connaissance de cause à quelles compétences correspond l’argent investi pour apprendre le métier d’écrivain avec L’esprit livre. Oui, c’est la troisième fois que je le cite sans qu’on ait à me payer : c’est une initiative personnelle. Et c’est récompensé les initiatives personnelles, pas vrai, cheffe ? Cheffe ??? Bon, j’aurais essayé…
Demandez l’programme !
Voici donc tout ce à quoi vous aurez droit dans le cadre d’un coaching portant sur un texte de 22 000 signes espaces compris pour un montant net de 175 euros par mois :
– accès au site d’e-learning L’esprit livre school.
– accès à un cours et une consigne d’écriture.
– accès aux tutoriaux pour l’utilisation du site.
– accès aux conseils et bonnes pratiques en formation.
– accès à des guides littéraires et des supports complémentaires.
– accès à l’atelier d’écriture en ligne : lecture des textes des autres stagiaires, libres échanges, participation au concours annuel de nouvelles.
– accès au forum : ressources en ligne et libres échanges entre les stagiaires et leurs tuteurs.
Comme on peut le constater, le côté ressources est tout sauf négligé. Ceci de manière vivante et collaborative pour que chacun y trouve son compte au rythme lui étant le plus profitable. La mise à disposition de ces moyens constitue la base d’une formation solidement charpentée. Tout étant fait pour que vous puissiez vous approprier intuitivement le site, et trouver des interlocuteurs qui sauront vous venir en aide au moindre tâtonnement, vous évoluerez très vite avec aisance dans un espace qui vous est entièrement dédié. De quoi vous sentir parfaitement sécurisé dès les premiers pas de votre formation.
Votre tuteur ou tutrice
Ces gens qui ne sont là que pour vous
L’intervention de votre tuteur portera sur les points suivants :
– double correction du texte : la première évalue le degré d’aboutissement du texte et débouche sur la mise en œuvre des techniques et l’apport de suggestions créatives du cours.
– la seconde évalue la mise en œuvre et le degré d’acquisition de ces techniques.
Votre formation est donc évolutive, il ne s’agit pas d’un instantané figé dans le temps, mais bien d’un suivi réajusté en fonction de vos progrès et des points qu’il vous faut améliorer. Votre apprentissage trouve ainsi sa dynamique dans la volonté de toujours aller de l’avant tout en ne brûlant pas des étapes où des techniques ne seraient pas pleinement assimilées.
– Animation d’un webinaire une fois tous les quinze jours pour répondre à toutes vos questions et vous donner la possibilité d’échanger avec les autres stagiaires en formation.
Soutien et motivation
La concertation, les retours précis sur des interrogations qui vous sont spécifiques, sont les garants d’une stimulation continue de votre envie d’écrire. Ne jamais être seul face à ses problèmes est un des atouts de L’esprit livre, car c’est grâce à ce soutien ininterrompu que vous ferez preuve de la persévérance nécessaire à l’aboutissement de votre projet. Quand une personne est véritablement à votre écoute et qu’elle s’appuie sur une méthode de travail soigneusement élaborée pour que vous franchissiez sans cesse des étapes, votre motivation ne peut que s’en trouver renforcée au fil des jours.
Répondre chaleureusement à vos attentes
Au-delà de la compétence professionnelle de votre tuteur formé pour la transmettre, ce qui est évidemment un énorme plus, la chaleur humaine des contacts que vous entretiendrez avec lui (ou avec elle, car bien entendu des tutrices font aussi partie de notre équipe) constituera un autre facteur de réussite. Être mis en confiance, sentir qu’une volonté commune guide votre évolution et que les techniques employées répondent le plus finement possible à vos attentes… Croyez-moi, avec L’esprit livre, vous préférerez définitivement le côté lumineux des passionnés investis aux discours clinquants des brasseurs de vent…