Le blog d'Esprit Livre

" Vous trouverez sur ce blog des informations sur les métiers de l'écriture, des chroniques littéraires , des textes de nos auteurs en formation, des guides et des conseils pour vous former, écrire et publier. " Jocelyne Barbas, écrivain, formatrice, fondatrice de L'esprit livre.

Où en êtes vous dans l'écriture ?

Êtes-vous comme Oscar Wilde ? Hésitant au point de ne pouvoir ajouter qu’une virgule à votre texte le matin et l’enlever l’après-midi ? Comme Stephen King, un gros producteur, au moins 10 pages abouties par jour ?

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Soyez aventurier, devenez écrivain

Sommaire

Ah ! Écrire ! Saisir sa plume avec enthousiasme pour écrire le prochain best seller et… commencer, mais comment ?

Seconde partie

Quelle que soit l’aventure dans laquelle on se lance, elle mobilise souvent des ressources qu’on ne soupçonnait pas avoir en stock. Ce dont on n’espérait même pas pouvoir disposer un jour. Mais caressez un rêve, et le voilà qui tutoie sans façon votre réalité. Le dépassement de soi, puisqu’il s’agit notamment de ça, se manifeste dans l’écriture sous diverses formes. Si la notion d’effort est indissociable de l’acquisition puis de la maîtrise de nouvelles techniques littéraires, un paramètre important est à considérer pour relativiser ledit effort : l’enthousiasme…

De l’enthousiasme au dépassement personnel

Un troupeau d’histoires

Quelqu’un d’enthousiaste n’est rebuté par aucune tâche. Il évalue le boulot à effectuer, se crache dans les mains, et s’attaque à ce qu’il doit faire. Oui, dans la plus pure tradition farwestienne du cowboy menant son troupeau de bétail de 300 têtes du Texas au Nouveau-Mexique. On raccourcira notre trajet littéraire métaphorique selon les objectifs que l’on se fixera. Des bivouacs nous permettront d’effectuer quelques pauses afin de les atteindre. L’aventure a le rythme de ses aventuriers, rien ne sert de courir si c’est pour tout bâcler. Alors en selle pour la suite de cet article qui sent bon les grands espaces intellectuels ou paissent nos histoires.

S’enhardir

Si vous vous êtes un jour un peu intéressé au développement personnel, vous avez probablement déjà dû entendre parler de la force du but. Écrire une histoire en est un des plus louables. Apprendre les règles de base pour y parvenir tombe sous le sens. En découvrir les développements permettant quelques audaces comme les figures de style ou la gestion de différentes approches narratives a tout d’une suite logique de l’appropriation des rudiments.  Se perfectionner dans quelques-unes des nombreuses ramifications que l’écriture nous offre est de l’ordre du souhait allant de soi pour un amateur éclairé. Mais on peut s’enhardir, pas vrai ?

Le pistard littéraire

Devenir très pointu dans un ou plusieurs domaines précis de la littérature au point de transformer une idée simple en une vision romanesque d’une redoutable originalité est de ces objectifs élevés baignant l’âme d’un écrivain d’une lumière créatrice. Contrôler chaque étape du processus d’écriture en arpentant les chapitres d’une plume décidée est aussi à la portée de qui s’en donne les moyens. Balisez cette aventure ambitieuse avec l’assurance d’un pistard littéraire chevronné n’est pas la moindre des récompenses. Au fait, quel était votre but initial, déjà ? Essayer d’écrire quelques pages ? Peu importe, car voici ce que finalement vous pourrez viser : que l’expérience claque des doigts dans votre cerveau afin que l’inspiration lui obéisse. Et vous ne compterez plus les pages. Vous accumulerez la confiance indispensable pour imposer votre style. Dites-moi après ça que l’écriture n’est pas une aventure stimulante.

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Bienvenue en terres d’écriture

Un café dans la prairie

Dans l’écriture, le dépassement personnel fonctionne selon les mêmes mécanismes que tous ceux régissant les entreprises réclamant de se transcender. Le préalable avant de se lancer un défi est de se connaître du mieux possible, et spécifiquement en fonction des compétences qu’on désire acquérir. Bien, on va voir ça en détail. Dessellez votre cheval s’il vous plaît : on s’octroie une halte dans la prairie à l’abri d’une paroi rocheuse. Pour se boire un café le temps de tourner un clip publicitaire sur fond de soleil couchant embrasant de teintes rougeoyantes le piton de gré au pied duquel, fourbu, vous venez de vous adosser.  Vous êtes prêt ? Je mets un morceau d’Ennio Morricone comme accompagnement. Ça tourne !

Même les cowboys parlent d’écriture

(Voix off empreinte d’une mâle assurance. On n’a pas affaire à un cowboy d’opérette. Son timbre chaud sent le feu de broussaille et son accent légèrement traînant évoque les remous paresseux d’un arroyo) : « Vous voulez aller bien au-delà des limites que se fixent d’ordinaire les pistoleros pénétrant en terres inconnues, celles de l’écriture pour ce qui nous concerne ? C’est bien ça ? Hummm… L’esprit livre est fait pour vous. ». (Hors champ, on entend le bruit que pourrait produire une tasse de fer blanc heurtant la rocaille. Notre cowboy jette un regard dur dans cette direction, le tintement métallique cesse aussitôt. Il se racle la gorge et poursuit son monologue). « Écoutez mes prochains propos, si cela vous sied… »

Feu de camp à L’esprit livre

« À L’esprit livre, nous avons acheminé plus d’un convoi à destination, comprenez accompagné plus d’un stagiaire de ses débuts dans l’écriture jusqu’au perfectionnement de l’exercice de son art. Ouaip. Et vous allez savoir comment. ». (La nuit tombe, noyant d’ombres le visage émacié du cowboy que vient colorer la danse jaune orangée des flammes d’un feu crépitant dans l’obscurité). « C’est dans la révélation de ses faiblesses qu’un écrivain puise ses forces. Et dans l’acceptation de n’être pas parfait qu’il devient meilleur. » Bravo cowboy, franchement, je n’aurais pas dit mieux ! « Mais ce n’est pas tout ! ». Ah pardon, vous n’aviez pas fini. Continuez, je vous en prie. C’est vous qui tenez le flingue, après tout.

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Toupie et barillet, ça tourne pour l’écriture

La toupie de la créativité

« Dans votre apprentissage de l’écriture, vous ne tirerez pas dans le mille d’une cible à cinquante mètres si vous ne savez pas pourquoi vous ne parvenez pas à en toucher une à dix pas. Ni comment vous améliorer. Nous corrigerons le tir ensemble pour que, à force d’entraînement, vous fassiez mouche à tous coups. Fixez-vous un objectif raisonnable pour commencer. Jusqu’à ce que ce ne soit plus le hasard qui vous permette de l’atteindre, mais l’habitude. Celle transformant un objectif en un acquis. Un acquis nécessaire pour toucher en son centre une cible plus lointaine. Votre objectif suivant. Qui à son tour deviendra un acquis, etc. Une évolution régulière et constante adaptée au rythme de chacun, il n’y a rien de tel pour progresser. L’enthousiasme crée les résultats, les résultats alimentent l’enthousiasme, une boucle vertueuse permettant de se dépasser. Entraînée ainsi, la créativité se transforme en une toupie ne cessant jamais de tourner. » Ou quand la simplicité d’un processus donne le tournis.

Le barillet mental

Le cowboy lustre la crosse de santal de son revolver pensivement, sifflotant de temps à autre, puis il me lance un coup d’œil de sous le bord de son Stetson : « Pour écrire une histoire, il est aussi indispensable d’avoir le barillet mental rempli de conseils et de solutions, de techniques et de savoir-faire parfaitement assimilés par les auteurs-formateurs de votre organisme de formation à l’écriture. C’est pourquoi à L’esprit livre, nous pratiquons la politique de la cartouchière pleine : quel que soit le niveau de difficulté à franchir, nous fournissons les munitions. » Bien parlé, cowboy. Vous êtes plus convaincant que les marionnettes débitant un discours manipulé par l’intelligence à tire-ficelles. Autre chose ?

Les rênes de la liberté

« L’esprit livre envisage l’écriture telle une aventure jouissant d’une grande liberté : celle de votre pensée et des mots qui la constituent. Celle aussi de prendre les décisions dont vous estimez qu’elles influeront avec bonheur sur le texte que vous aurez choisi d’écrire. On fournit le cheval, la selle et le lasso, mais les rênes, c’est vous qui les tenez. Les auteurs qui vous accompagnent ne sont pas les chasseurs de prime qu’on peut rencontrer ailleurs. Pas plus qu’ils ne cherchent l’éclat de l’or, ils ne sont en quête du clinquant lié aux postures d’écrivain. La modestie est l’abat-jour des esprits brillants. Nous voulons éclairer nos stagiaires, pas les aveugler. »

Fin de bivouac

« Voilà qui a le mérite de ne rien laisser dans l’ombre, dis-je au cowboy tandis que nous répandions un peu d’eau sur les dernières braises du feu qui avait brûlé toute la nuit. Mais dans les déserts et les plaines, les virevoltants s’envolent et les écrits restent. Alors vos formations, c’est du sérieux ?

Il se tourna vers moi, le gris minéral de son regard un instant perdu dans la contemplation du ciel bleu de cobalt succédant aux flaques de ténèbres qui se dissipaient.

— Aussi sérieux que puissent l’être des formations conçues par des professionnels bénéficiant de vingt-cinq ans d’expérience et dont la volonté de transmettre des outils fiables n’est plus à démontrer, répondit-il finalement. Quand vous apposez votre signature numérique au bas de votre contrat, vous êtes certain que L’esprit livre s’engage à vous suivre de A comme Art à Z comme Zèle, et avec du zèle dans l’art, y a pas d’lézard ! C’est clair pour toi, mon gars ? Et ton scopitone, c’est dans la boîte ? dit-il en désignant la caméra d’un petit geste sec, comme s’il congédiait l’appareil.

— Le scopi… ah oui, pour le clip, j’ai ce qu’il me faut.

— Parfait, alors c’est maintenant le moment où tu vas hurler ‘‘Coupez !’’, ou un truc comme ça ? Quoi qu’il en soit, pendant que je vais m’éloigner dans le petit nuage de poussière ocre s’élevant de sous les sabots de mon canasson, laisse la musique d’Ennio Morricone, tu veux ? Histoire de finir cet article sur une bonne note. »

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